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Une résolution du Parlement Européen dénonce la politique chinoise relative aux avortements forcés

 Après la médiatisation et les nombreuses réactions concernant une jeune femme chinoise "forcée d’avorter à sept mois de grossesse, faute de pouvoir payer l’amende pour non respect de la politique de l’enfant unique", le Parlement Européen a souhaité réagir.

Pas de subvention européenne aux programmes de planning familial imposant l'avortement de manière coercitive ou obligatoire

Le lobby « Care for Europe » vient d'annoncer, dans un communiqué repris par LifeSite, que le Parlement européen vient d'adopter un amendement interdisant explicitement toute subvention européenne aux programmes de planning familial imposant l'avortement de manière coercitive ou obligatoire. Intégré dans la discussion sur le budget annuel de la Commission européenne, l'amendement a été adopté par 372 voix contre 279.

L'objection de conscience finalement réaffirmée par le Conseil de l'Europe

Le 7 octobre 2010, le projet de résolution de Christine McCafferty visant à réduire l'objection de conscience a été rejeté par l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (APCE). Ce texte s'opposant au droit à l'objection de conscience a été remplacé par un nouveau texte d'une tout autre perspective qui "affirme, défend et promeut le droit du personnel médical à l'objection de conscience".

Le Conseil de l'Europe contre l'objection de conscience :

Le projet de résolution "Accès des femmes à des soins médicaux légaux : problème du recours non réglementé à l'objection de conscience" présenté en juin 2010 par la Commission des questions sociales, de la santé et de la famille de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (APCE) et rédigé par Christine McCafferty suscite de nombreuses contestations. L'APCE débattra de ce projet de résolution et de recommandation le 7 octobre 2010.

Le Parlement européen préconise un "accès aisé à la contraception et à l'avortement"

Le Parlement européen a préconisé un "accès aisé à la contraception et à l'avortement", dans un rapport sur l'égalité entre les hommes et les femmes adopté mercredi en plénière par une majorité confortable de députés.

Signé par le Belge Marc Tarabella (PS), le rapport porte notamment sur les droits sexuels et reproductifs. Il insiste sur le fait que les femmes doivent "avoir accès gratuitement à des consultations sur l'avortement".

Source : RTL Info Belgique

 

Grégor Puppinck contre la résolution européenne de promotion de l'avortement

Le Parlement Européen doit voter une résolution du conseil de l'Europe visant "à encourager une politique de réduction démographique" notamment au moyen de l'avortement. Celle-ci s'intitule "Quinze ans après le Programme d'action de la Conférence internationale sur la population et le développement", c'est-à-dire la Conférence du Caire. Ces deux rapports parlementaires seront débattus et votés respectivement mercredi 27 et vendredi 29 janvier 2010 à Strasbourg.

Grégor Puppinck, directeur du Centre Européen pour la Justice et les Droits de l'Homme (European Center for Law and Justice, ECLJ), constate que promouvoir l'avortement, "comme moyen de contrôle démographique et de planning familial" constitue une violation "des valeurs fondamentales sur lesquelles est construit le Conseil de l'Europe. Cette promotion va à l'encontre de la protection de la vie humaine et de la dignité, ainsi que du respect de la souveraineté nationale". Il précise que la résolution "se fonde sur une idéologie néo-malthusianiste en ce qu'[elle] insiste sur la nécessité particulière de limiter les naissances dans les pays pauvres". Le Programme d'action de la Conférence du Caire n'a pourtant "pas créé de 'droit' à l'avortement et a laissé aux Etats le soin de décider du degré de protection dont bénéficie l'enfant à naître dans leur pays".

Source : Zenit.org via Gènéthique

Le Conseil de l'Europe veut restreindre l'objection de conscience

Le Conseil de l'Europe réunit 47 pays et est indépendant de l'UE (dans un certaine mesure, puisque l'idéologie véhiculée est semblable).

Un projet de résolution de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe présenté par la Suédoise Mme Hägg et la socialiste britannique Christine Mc Cafferty s'attaque à : « L'accès des femmes au soins médicaux légaux : le problème du recours non réglementé à l'objection de conscience. » L'objectif est double : promouvoir l'avortement en tant que « droit humain », et dans cette même logique limiter la possibilité offerte aux personnels médicaux à titre individuel comme aux établissements de soins de refuser de fournir certains services de santé pour des motifs religieux, philosophiques ou moraux. 

En France, les restrictions à l'objection de conscience ont déjà été mises en place pour l'« IVG » par la loi Aubry : le médecin sollicité pour un avortement peut refuser mais doit fournir à sa patiente le nom et l'adresse d'un confrère ou d'un centre acceptant de fournir ce « service », tandis que dans les hôpitaux publics, les chefs de service de gynécologie-obstétrique ont l'obligation légale d'organiser des avortements.

Source : LeSalonBeige via le Blog de Jeanne Smits

Nouvelle résolution européenne pro-avortement à venir ?

Une initiative mal venue du parlement européen confirme maladroitement les craintes des irlandais. En effet, interdit dans ce pays, sauf cas extrême, l'avortement s'était invité dans le référendum sur le traité européen. Le peuple irlandais est en effet très attaché à l'interdiction de l'avortement dans leur pays, et craignait que l'Europe ne dicte sa loi sur ce sujet aussi. Ainsi, l'assemblée parlementaire du conseil de l'Europe va bientôt voté sur une nouvelle résolution pro-avortement. Etonnant quand on sait que le sujet de cette résolution porte sur l'adoption.

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