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Polémique sur la proposition de nomination d'un commissaire européen à la santé

Après la démission du commissaire européen à la santé maltais, John Dalli, le gouvernement de l'Etat insulaire a proposé un successeur, Tonio Borg. Réagissant à cette proposition, "le Mouvement français pour le planning familial (MFPF) a qualifié mercredi de 'dérive' la possible nomination", en raison de l'opposition de celui-ci notamment à l'avortement ou à la contraception. 

Auditionné mardi prochain par les parlementaires européens, "M. Borg a assuré qu'il ferait 'respecter le droit européen' avant ses 'convictions personnelles' mais qu'il 'n'abandonnerai(t) pas (s)es convictions' ". 
"Le Parlement européen se prononcera sur cette candidature la semaine prochaine". 
 
Source : AFP 14/11/12 - Tempsreel.nouvelobs.com 13/11/12, via gènéthique

 

 

 

 

ONU : un rapport affirme que l'avortement est un "droit de l'homme"

Publié pendant l'été 2011, un rapport du Comité des droits de l'homme de l'ONU affirme que les nations devraient garantir, pour toutes les femmes et les filles, un "droit d'accès à l'avortement", considéré comme faisant partie de leurs "droits de l'homme".

Rédigé par Anand Grover, rapporteur spécial de l'ONU sur le droit à la santé, ce rapport établit un lien entre l'accès à l'avortement et le standard le plus élevé de santé physique et mentale. "Les lois pénalisant et réduisant l'avortement [IMG et IVG] sont des exemples par excellence d'entraves inacceptables à la réalisation des droits des femmes à la santé et doivent être éliminées", estime A. Grover. Il va plus loin en affirmant que la seule légalisation de l'avortement n'est pas à elle seule suffisante pour dire que les Etats ne violent pas le droit des femmes à la santé, ceux-ci devant selon lui promouvoir les procédures d'IVG par des moyens permettant la pratique d'avortements sans danger. Des services de "bonne qualité" doivent ainsi inclure "la mise en place de cliniques disponibles et accessibles, la fourniture de formations à destination des médecins et du personnel médical, la promulgation de conditions d'obtentions de licences, et l'assurance d'une accessibilité des équipements et techniques les plus récents et les plus sûrs médicalement". 

Dans une note ouvrant ce rapport, Ban Ki-Moon, Secrétaire général de l'ONU, écrit avoir "l'honneur" de présenter à l'Assemblée générale ce rapport, dont le contenu contraste pourtant avec l'image de neutralité officielle que revendique l'organisation en matière d'avortement.

Source : Friday Fax (Douglas A. Sylva) 26/09/11 via la revue de presse gènétique

L’ONU réclame le doublement du budget du planning familial

C’est un rapport publié par le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP), mais coécrit et cofinancé par le Guttmacher Institute, « bras armé » de la recherche de la Fédération internationale du Planning familial qui l’affirme : toutes les nations du monde devraient doubler la part de leur budget consacrée au planning familial, et aussi à l’avortement, dans les pays pauvres. Pour un total de 24 milliards de dollars par an…

Lle rapport parle d'économies par ailleurs :  dépenses de limitations des naissances sont d’abord traduites en frais évités : pour toutes les grossesses non désirées qui ne commenceraient pas ou n’iraient pas à leur terme, on économiserait les dépenses liées à la fourniture de soins maternels et infantiles aux normes recommandées par l’ONU (mais dont beaucoup de femmes dans les pays pauvres sont aujourd’hui de toute façon privées !) de 5,1 milliard de dollars par an : l’addition se monterait à 1,8 milliard au lieu de 6,9 milliards de dollars.

Source : leblogdejeannesmits, C-FAM

Interdiction de l'avortement : devant l'ONU, le Nicaragua tient bon

Ministre de gouvernement du Nicaragua, Ana Isabel Morales a présenté la position de son pays devant le Conseil des droits de l'homme de l'ONU à Genève qui procède actuellement à l'Examen périodique universel des droits de l'homme pour son pays. Sommé par plusieurs ONG de rétablir la légalité de l'avortement « thérapeutique », le Nicaragua n'entend pas changer sa législation, d'autant que le « droit à l'avortement » n'est pas (encore) au programme des conventions de l'ONU.

Unicef : l'avortement sélectif, une "discrimination" envers les femmes

"La première et ultime discrimination envers les filles est l'avortement sélectif dans certains pays où l'on préfère avoir un garçon plutôt qu'une fille", a déploré Mme Veneman lors d'une conférence de presse au siège de l'Unicef à New York, pour présenter le rapport "L'état des enfants dans le monde" publié vendredi à l'occasion du 20e anniversaire de la Convention relative aux droits de l'enfant.

"Pourquoi laisse-t-on mourir les filles après leur naissance, ne les nourrit-on pas et les prive-t-on d'éducation ?", a demandé Mme Veneman, notant que ces phénomènes "inacceptables" et "horribles" ont cours dans nombre de régions du monde.

Source : casafree

ONU : l'éternel support à l'avortement dans le monde

"Il en coûterait au monde 23 milliards de dollars par an pour mettre un terme aux grossesses non désirées et aux décès pendant les accouchements", a plaidé Thoraya Ahmed Obaid, directrice exécutive des Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA), ou plutôt l'anti-population.

Italie : la Chambre contre l'avortement comme instrument démographique

En Italie, une motion est passée à la Chambre qui engage le gouvernement à défendre à l’ONU la résolution de condamnation de l’avortement comme instrument démographique. Il faut dire que durant les dernière conférences de l'ONU, notamment la conférence "Population et Développement", il fut principalement question de réduction de la population mondiale, notamment par l'avortement

Source : Il Corriere della sera via le Nouvel Obs

A l'ONU, des délégations disent non à l'avortement

Début de la commission des Nations Unies Population et Développement

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