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Des chinois mangent de la soupe de bébé pour augmenter les perfomances sexuelles

C'est le très sérieux Seoul Times, journal de la Corée du Sud écrit en anglais qui révèle cette information pour le moins effrayante : des chinois mangent de la "soupe de bébé" pour augmenter leurs performances sexuelles. The seoul Times a déjà été cité en France de manière très sérieuse par des médias français reconnus, comme Courrier International, Direct Soir, RFI (Radio-France International), France 24...

Plus de 13 millions d'avortements par an en Chine

Les chiffres révélés par l'administration chinoise ont de quoi faire pâlir. Avec plus de 13 millions d'avortements par an, et près de 55% des chinoises qui y ont eu recours au moins une fois, la Chine ne connaît pas la retenue. Il faut dire que la politique de l'enfant unique (un enfant par femme seulement) fait des ravages. Ce, alors qu'un récent sondage a montré que l'écrasante majorité des femmes ne soutient pas cette politique, désirant avoir la permission d'avoir deux ou trois enfants.

Les foetus avortés utilisés par l'industrie cosmétique

 En 2005, The Guardian livrait une enquête stupéfiante en matière d'industrie cosmétique, qui lève le voile sur des pratiques qualifiées de "traditionnelles" par des employés de la compagnie chinoise qu'il a interrogés. Il s'agit de récupérer du collagène, une protéine fibreuse que l'on trouve en abondance dans la peau, les os et les tendons, couramment utilisée en chirurgie esthétique pour gonfler les lèvres et réduire les rides. 

Chine : le calvaire d'une mère forcée d'avorter à six mois de grossesse

Un couple de jeunes Chinois a vécu un enfer vendredi dernier. Sur le coup de 4 heures du matin, 16 fonctionnaires de police ont débarqué chez eux pour forcer la jeune femme de 33 ans, enceinte de six mois, a avorter. La police a défoncé la porte de l'habitation du couple et Liu Xinwen a été transportée de force dans un hôpital de Frangzi dans la ville de Weifang. Elle y a reçu une dose de médicaments destinée à tuer le bébé in utéro. Le bébé, un garçon, est mort le lendemain dans le ventre de la jeune femme. Il a fallu un jour de plus pour qu'il en sorte. 

Six jours après le drame, la jeune femme a confié à Sky News "Je n'ai pas pu voir mon bébé. Mais je serais encore plus bouleversée si je l'avais vu."

Le couple, déja parent d'un garçon de dix ans, a été victime de la brutale politique de l'enfant unique en Chine. La loi est conçue pour maintenir la population du pays sous contrôle. Reste que si un couple conçoit un deuxième enfant, il est puni par des sanctions financières et non pas par un avortement forcé. Mais dans certaines provinces de Chines, certains responsables locaux font de l'excès de zèle. "Ils n'ont aucun humanité", confie la mère blessée. 

Le papa a pleuré en cachette quand il a appris que son enfant était mort. "Je ne voulais pas que ma femme me voie en larmes. Elle était si triste. Elle pleure jour et nuit. J'ai perdu mon enfant. Je suis sans voix, les mots ne peuvent pas décrire mes sentiments."

Liu dit avoir été contrainte de signer des papiers disant qu'elle avait elle-même décidé de l'avortement. 

Ils avaient prévu de prévenir les autorités de l'arrivée de leur deuxième enfant après la naissance et de payer l'amende qu'on leur infligerait. Le destin en a voulu autrement.

Source : 7sur7

Une résolution du Parlement Européen dénonce la politique chinoise relative aux avortements forcés

 Après la médiatisation et les nombreuses réactions concernant une jeune femme chinoise "forcée d’avorter à sept mois de grossesse, faute de pouvoir payer l’amende pour non respect de la politique de l’enfant unique", le Parlement Européen a souhaité réagir.

L'avortement forcé qui choque la Chine

La mort au seuil de la naissance. Une mère chinoise a été forcée à avorter par les autorités, au septième mois de sa grossesse. Et cette barbarie suscite une flambée d'indignation sur l'Internet chinois. Le choc est d'autant plus violent qu'une photo terrible a été postée sur le Web, celle du fœtus de sept mois sanguinolent posée près de la jeune femme étendue sur son lit d'hôpital.

Chine : enceinte sans permis, elle décède après son avortement

Une jeune femme chinoise est morte la semaine dernière des suites d’un avortement forcé dans le cadre de la politique de l’enfant unique. Jihong Ma était « enceinte sans permis » alors qu’elle avait déjà une petite fille : elle a été embarquée par une dizaine de fonctionnaires du planning familial et avortée de force à 6 mois de grossesse. Sa famille l’a retrouvée morte dans la salle de travail. Les faits ont été révélés par un site chinois et rendus publics par l’avocate américaine Reggie Littlejohn, présidente deWomen’s Rights without Frontiers, une organisation qui dénonce, preuves à l’appui, la barbarie de cette « guerre contre les femmes » menée par les autorités chinoises.

Source : Présent

Avortement : l'avocat Chen Guangcheng harcelé par les autorités chinoises

L'avocat aveugle chinois Chen Guangcheng, emprisonné en mars 2006 après avoir dénoncé les avortements forcés pratiqués par les autorités chinoises et relâché le 9 septembre 2010 reste l'objet de harcèlement et d'isolement total de la part des autorités chinoises.

Chine : avortement forcé à 8 mois

Alors que le gouvernement chinois a annoncé le 20 octobre 2010 que le sixième recensement de la population allait avoir lieu, 10 ans après le précédent, une femme enceinte de 8 mois de son deuxième enfant a été contrainte d'avorter par violence au nom de la politique de l'enfant unique.

Chine : avortements forcés et liberté de parole

Chen Guangcheng, un avocat aveugle chinois, emprisonné en 2006 pour avoir dénoncé les tortures infligées à la population par les autorités au nom de la "politique de l'enfant unique", a été libéré jeudi 9 septembre 2010 et placé en résidence surveillée. Guangcheng était parvenu à réunir un dossier accablant contre les autorités locales de sa province et avait intenté une action devant un tribunal. Les documents et témoignages qu'il avait collectés révélaient que des avortements forcés étaient pratiqués, parfois jusqu'au 8° mois de la grossesse, par les cadres fonctionnaires afin d'atteindre les quotas imposés par la politique de l'enfant unique.

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