Selon une étude au Sri Lanka rapporte que les femmes ayant subi un avortement présentent trois fois plus de risques de développer un cancer du sein que les autres, tandis que celles qui allaitent longtemps (de 12 à 23 mois) présentent un risque moins élevé de 66,3 % par rapport au groupe témoin, un pourcentage qui augmente pour celle qui ont allaité plus longtemps au cours de leur vie.
Le fait d'avorter, indique l'étude, diminue la protection acquise grâce à l'allaitement. L'étude donne également l'avortement comme un facteur plus aggravant que le fait de fumer.
L'étude demande à être affinée cependant, notamment parce qu'il n'est pas clairement établi si les avortements comptabilisés étaient volontaires ou spontanés (fausses couches), même si les chercheurs font référence à d'autres études visant clairement l'avortement volontaire. Et qu'une de ses conclusions contredit directement de nombreuses autres études sur le sujet en suggérant qu'une première grossesse tardive est un facteur de protection.
Source :LifeSite, traduit par leblogdejeannesmits (étude ici)