Monde

Chine : enceinte sans permis, elle décède après son avortement

Une jeune femme chinoise est morte la semaine dernière des suites d’un avortement forcé dans le cadre de la politique de l’enfant unique. Jihong Ma était « enceinte sans permis » alors qu’elle avait déjà une petite fille : elle a été embarquée par une dizaine de fonctionnaires du planning familial et avortée de force à 6 mois de grossesse. Sa famille l’a retrouvée morte dans la salle de travail. Les faits ont été révélés par un site chinois et rendus publics par l’avocate américaine Reggie Littlejohn, présidente deWomen’s Rights without Frontiers, une organisation qui dénonce, preuves à l’appui, la barbarie de cette « guerre contre les femmes » menée par les autorités chinoises.

Source : Présent

Maroc: la ministre de la Famille souhaite autoriser l'avortement dans certains cas

 Pour la première fois, un ministre a affirmé que l’avortement, actuellement interdit dans le royaume, pourrait être légalisé dans certains cas. Un véritable pavé dans la mare dans un pays où l’avortement est passible de prison.

L’ambassadeur de France au Nicaragua fait la promotion de l’avortement

 

Antoine Joly, ambassadeur de France au Nicaragua, s’est mobilisé pour l'avortement, par une déclaration écrite manifestant son soutien aux demandes de dépénalisation de l’avortement et dénonçant la loi du Nicaragua qui a repénalisé toutes les formes d’avortement volontaire en 2006. Il  affirme que le nombre d’avortements est plus important dans les pays qui l’interdisent, alors que la légalisation de l’avortement, partout dans le monde, est toujours allée de pair avec leur augmentation.

Il ajoute que les avortements illégaux sont très dangereux pour la vie des femmes qui y ont recours et, en même temps, il félicite le Nicaragua pour ses efforts en faveur de la santé des femmes, rappelant que le ministère de la Santé de ce pays a reçu le Prix Amérique 2011 de l’ONU en reconnaissance de sa « stratégie des Maisons maternelles » qui a fait chuter le taux de mortalité maternelle de quelque 35 % au cours des 5 dernières années… Soit les années pendant lesquelles le Nicaragua a interdit totalement l’avortement !

 

Source : Le Salon Beige

Brésil : deux hommes condamnés pour tentative d'avortement forcé

Deux hommes, Caros Nogueira de Campos, 27 ans, et Rafael Corrêa Bispo, 26 ans, ont été condamnés respectivement à 14 mois  et un an de prison, vendredi au Brésil, pour avoir forcé une femme à avaler trois comprimés de cytotec, molécule interdite dans ce pays en raison de ses effets abortifs. Ils ont également introduit un comprimé de Cytotec dans son vagin pour mieux s'assurer de son action, puis ils l'ont endormie à l'éther avant de s'enfuir.

Mexique: échec devant la Cour suprême d'un recours des pro-avortement

 La Cour suprême du Mexique a rejeté un recours de partisans de l'avortement pour faire déclarer anticonstitutionnel un texte législatif d'un Etat mexicain interdisant de fait l'IVG, a-t-on appris auprès de cette juridiction.

ONU : un rapport affirme que l'avortement est un "droit de l'homme"

Publié pendant l'été 2011, un rapport du Comité des droits de l'homme de l'ONU affirme que les nations devraient garantir, pour toutes les femmes et les filles, un "droit d'accès à l'avortement", considéré comme faisant partie de leurs "droits de l'homme".

Rédigé par Anand Grover, rapporteur spécial de l'ONU sur le droit à la santé, ce rapport établit un lien entre l'accès à l'avortement et le standard le plus élevé de santé physique et mentale. "Les lois pénalisant et réduisant l'avortement [IMG et IVG] sont des exemples par excellence d'entraves inacceptables à la réalisation des droits des femmes à la santé et doivent être éliminées", estime A. Grover. Il va plus loin en affirmant que la seule légalisation de l'avortement n'est pas à elle seule suffisante pour dire que les Etats ne violent pas le droit des femmes à la santé, ceux-ci devant selon lui promouvoir les procédures d'IVG par des moyens permettant la pratique d'avortements sans danger. Des services de "bonne qualité" doivent ainsi inclure "la mise en place de cliniques disponibles et accessibles, la fourniture de formations à destination des médecins et du personnel médical, la promulgation de conditions d'obtentions de licences, et l'assurance d'une accessibilité des équipements et techniques les plus récents et les plus sûrs médicalement". 

Dans une note ouvrant ce rapport, Ban Ki-Moon, Secrétaire général de l'ONU, écrit avoir "l'honneur" de présenter à l'Assemblée générale ce rapport, dont le contenu contraste pourtant avec l'image de neutralité officielle que revendique l'organisation en matière d'avortement.

Source : Friday Fax (Douglas A. Sylva) 26/09/11 via la revue de presse gènétique

La salle d'opération gynécologique de Kadhafi

Depuis que Mouammar Kadhafi est en fuite, de nombreuses découvertes bizarres ont été faites dans ses différentes résidences et palais. Des objets décadents, bling-bling ou même presque mignons comme l'album de photos de Condoleeza Riceont été trouvés par les rebelles. Mais la dernière trouvaille se rapproche plutôt du sinistre: un repaire sous-terrain sous la plus grande université de Tripoli avec un lit, un jacuzzi et une salle d’opération équipée de matériel de gynécologie.

La salle d'opération gynécologique de Kadhafi

Depuis que Mouammar Kadhafi est en fuite, de nombreuses découvertes bizarres ont été faites dans ses différentes résidences et palais. Des objets décadents, bling-bling ou même presque mignons comme l'album de photos de Condoleeza Riceont été trouvés par les rebelles. Mais la dernière trouvaille se rapproche plutôt du sinistre: un repaire sous-terrain sous la plus grande université de Tripoli avec un lit, un jacuzzi et une salle d’opération équipée de matériel de gynécologie.

Inde - Un fils avant tout

Un nombre grandissant de familles indiennes avec une fille choisissent l'avortement lorsque des examens révèlent qu'elles vont avoir une autre fille, selon une étude publiée mardi par la revue médicale "Lancet". La pratique serait plus répandue parmi les couples plus scolarisés et plus à l'aise économiquement que dans les familles plus modestes, contredisant l'idée voulant que le développement du pays freine le recours des Indiens à l'avortement sélectif.

Les avortements de foetus de sexe féminin augmentent en Inde

Le nombre d'avortements de foetus de sexe féminin a atteint un nombre sans précédent chez les Indiennes depuis que les ultrasons sont facilement accessibles, révèle une étude du Centre du marché et de l'organisation publics de l'Université de Bristol. La recherche de la professeure Sonia Bhalotra démontre que près de 500 000 foetus de sexe féminin sont avortés chaque année en Inde. Le phénomène s'observe surtout dans les familles hindoues riches et éduquées.

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