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Des chinois mangent de la soupe de bébé pour augmenter les perfomances sexuelles

C'est le très sérieux Seoul Times, journal de la Corée du Sud écrit en anglais qui révèle cette information pour le moins effrayante : des chinois mangent de la "soupe de bébé" pour augmenter leurs performances sexuelles. The seoul Times a déjà été cité en France de manière très sérieuse par des médias français reconnus, comme Courrier International, Direct Soir, RFI (Radio-France International), France 24...

Plus de 13 millions d'avortements par an en Chine

Les chiffres révélés par l'administration chinoise ont de quoi faire pâlir. Avec plus de 13 millions d'avortements par an, et près de 55% des chinoises qui y ont eu recours au moins une fois, la Chine ne connaît pas la retenue. Il faut dire que la politique de l'enfant unique (un enfant par femme seulement) fait des ravages. Ce, alors qu'un récent sondage a montré que l'écrasante majorité des femmes ne soutient pas cette politique, désirant avoir la permission d'avoir deux ou trois enfants.

Le lien mortalité maternelle - avortement légal contesté

Le rapport annuel du Forum économique mondial sur le « l'écart entre les genres », qui voit le salut de l'humanité et de l'économie dans la stricte égalité entre  hommes et femmes sur le marché du travail, comporte un dernier chapitre sur la mortalité maternelle. Il en ressort, signale C-Fam, que les pays qui intedisent ou restreignent l'accès à l'avortement ne sont pas ceux où la mortalité maternele est la plus élevée. Championne toutes catégories, l'Irlande - où l'avortement direct est toujours interdit - n'enregistre qu'un décès maternel pour 100.000 naissances.

La doctrine nazie de retour

Le Sénat australien a publié un rapport appelant à financer les avortements des enfants à naître diagnostiqués handicapés. Ce rapport explique que l'avortement est en effet préférable car il serait trop coûteux d'élever ces enfants. Le document promeut l'avortement même au second trimestre de grossesse (quand le foetus devient viable), arguant que les enfants handicapés sont un fardeau financier pesant sur les contribuables.

Tentative de légalisation de l’avortement écrasée au Brésil

Un comité pour la santé du parlement Brésilien a rejeté une proposition de loi tendant à légaliser l’avortement. Les députés pro-vie ont même été pris au dépourvu en constatant que la commission a rejeté unanimement cette proposition, 33 votes à 0. Deux députés pro-avortement avaient quitté la salle par dépit, remplacés par deux députés qui ont votés contre la proposition de loi.

 

Avortement : pardon exceptionnel à l'occasion de l'Année de la miséricorde

À l'initiative du pape François, les femmes ayant subi un avortement ainsi que les médecins ou ceux qui les auraient aidées à avorter pourront recevoir l'absolution lors du Jubilé de la miséricorde. Une décision exceptionnelle, qui ne remet toutefois pas en cause le fait que l'avortement soit considéré comme un « grave péché » par l'Église catholique.

Les foetus avortés utilisés par l'industrie cosmétique

 En 2005, The Guardian livrait une enquête stupéfiante en matière d'industrie cosmétique, qui lève le voile sur des pratiques qualifiées de "traditionnelles" par des employés de la compagnie chinoise qu'il a interrogés. Il s'agit de récupérer du collagène, une protéine fibreuse que l'on trouve en abondance dans la peau, les os et les tendons, couramment utilisée en chirurgie esthétique pour gonfler les lèvres et réduire les rides. 

Chine : le calvaire d'une mère forcée d'avorter à six mois de grossesse

Un couple de jeunes Chinois a vécu un enfer vendredi dernier. Sur le coup de 4 heures du matin, 16 fonctionnaires de police ont débarqué chez eux pour forcer la jeune femme de 33 ans, enceinte de six mois, a avorter. La police a défoncé la porte de l'habitation du couple et Liu Xinwen a été transportée de force dans un hôpital de Frangzi dans la ville de Weifang. Elle y a reçu une dose de médicaments destinée à tuer le bébé in utéro. Le bébé, un garçon, est mort le lendemain dans le ventre de la jeune femme. Il a fallu un jour de plus pour qu'il en sorte. 

Six jours après le drame, la jeune femme a confié à Sky News "Je n'ai pas pu voir mon bébé. Mais je serais encore plus bouleversée si je l'avais vu."

Le couple, déja parent d'un garçon de dix ans, a été victime de la brutale politique de l'enfant unique en Chine. La loi est conçue pour maintenir la population du pays sous contrôle. Reste que si un couple conçoit un deuxième enfant, il est puni par des sanctions financières et non pas par un avortement forcé. Mais dans certaines provinces de Chines, certains responsables locaux font de l'excès de zèle. "Ils n'ont aucun humanité", confie la mère blessée. 

Le papa a pleuré en cachette quand il a appris que son enfant était mort. "Je ne voulais pas que ma femme me voie en larmes. Elle était si triste. Elle pleure jour et nuit. J'ai perdu mon enfant. Je suis sans voix, les mots ne peuvent pas décrire mes sentiments."

Liu dit avoir été contrainte de signer des papiers disant qu'elle avait elle-même décidé de l'avortement. 

Ils avaient prévu de prévenir les autorités de l'arrivée de leur deuxième enfant après la naissance et de payer l'amende qu'on leur infligerait. Le destin en a voulu autrement.

Source : 7sur7

Salavador: la justice s'oppose à l'avortement thérapeutique

Mercredi 29 mai, la Cour suprême du Salvador a, par quatre voix contre une, "rejeté le recours d'une jeune femme touchée par une maladie auto-immune qui souhaitait effectuer une IVG [interruption volontaire de grossesse] à des fins thérapeutiques". 

En l'espèce, la jeune femme, âgée de 22 ans et enceinte de 25 semaines, "souffre d'insuffisances rénales et de Lupus, une maladie qui s'attaque à son système immunitaire". C'est après qu'une anencéphalie a été diagnostiquée chez son foetus qu'elle a déposé un recours devant la justice.

Pour rendre sa décision, la Cour s'est appuyée sur les examens psychologiques et physiologiques de l'Institut de médecine légale du Salvador qui assure que "l'état de santé de la [jeune femme] est maîtrisé". Elle justifie sa position en affirmant que "les droits de la mère ne peuvent prévaloir sur ceux de l'individu qui va naître et vice-versa". Ce que confirme Oscar Luna, procureur général pour les droits de la personne au Salvador, qui rappelle que "ce qui doit prévaloir par-dessus tout, ce sont les droits de la personne - dans ce cas-ci, le droit à la vie". 

Source : AFP via la revue de presse gènéthique.

Le pape François défend fermement l'embryon

Le pape François a été jusque là plutôt discret sur les questions éthiques. Dimanche pourtant, à l'occasion de la prière du Regina Caeli (qui remplace l'Angelus jusqu'à la Pentecôte) il a nettement pris position pour «le respect pour la vie dès le moment de sa conception», s'opposant, en clair, à l'avortement.

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