Etudes scientifiques

L'avortement réduit-il la mortalité maternelle?

Alors que le bilan, à mi-parcours, des objectifs du millénaire pour le développement est débattu aux Nations Unies cette semaine, Chris Smith, un membre du Congrès américain, s'est adressé au sous-comité des organisations internationales du Committe on Foreign Affair. Chris Smith a cité une étude parue dans le journal britannique The Lancet en avril qui montre que le taux de mortalité maternelle aurait été surestimé par les agences de l'ONU.

Lien avortement/cancer du sein une nouvelle fois démontré

Selon une étude au Sri Lanka rapporte que les femmes ayant subi un avortement présentent trois fois plus de risques de développer un cancer du sein que les autres, tandis que celles qui allaitent longtemps (de 12 à 23 mois) présentent un risque moins élevé de 66,3 % par rapport au groupe témoin, un pourcentage qui augmente pour celle qui ont allaité plus longtemps au cours de leur vie.

Le fait d'avorter, indique l'étude, diminue la protection acquise grâce à l'allaitement. L'étude donne également l'avortement comme un facteur plus aggravant que le fait de fumer.

L'étude demande à être affinée cependant, notamment parce qu'il n'est pas clairement établi si les avortements comptabilisés étaient volontaires ou spontanés (fausses couches), même si les chercheurs font référence à d'autres études visant clairement l'avortement volontaire. Et qu'une de ses conclusions contredit directement de nombreuses autres études sur le sujet en suggérant qu'une première grossesse tardive est un facteur de protection.

  Source :LifeSite, traduit par leblogdejeannesmits (étude ici)

La sensibilité du foetus

"La sensibilité au toucher chez le foetus va débuter vers la septième semaine de grossesse avec une sensibilité qui apparaît au niveau de la zone qui est située autour de la bouche, puis ensuite vers la onzième semaine se développe la sensibilité au niveau de la paume des mains et de la plante des pieds, et ensuite entre la quinzième et la vingtième semaine de grossesse environ va se développer chez le foetus la sensibilité sur le reste du corps, c'est à dire le tronc et les membres."

Source : Pr. Jamil Hamza, spécialiste du toucher et de la douleur foetale, Hôpital St Vincent de Paul, Paris

Avortement et traumatisme post-avortement : la recherche en panne

La recherche s’est peu penchée sur les risques d’état de stress aigu (première phase de constitution du syndrome post-traumatique) et de trouble de stress post-traumatique aigu (dans les trois mois suivant l’événement) survenant au décours d’une IVG. Les travaux sur le TSPT porte essentiellement sur le post-partum, sur les conditions de la césarienne en urgence et l’IMG : ces études donnent une idée assez précise de l’existence d’un risque majeur de trouble post-traumatique lié à l’IMG, ce qui permet d’envisager l’application à l’IVG des mêmes protocoles de recherche.

Lien avortement et cancer du sein une nouvelle fois démontrée : intervention du député canadien Vellacott

Le 7 janvier le député conservateur de Saskatoon-Wanuskewin, Maurice Vellacott, a émis un communiqué de presse annonçant qu’il y avait bel et bien un lien scientifiquement vérifiable entre l’avortement et le cancer du sein. En émettant ce communiqué, il espérait que le « camouflage » des médias et des sociétés du cancer qui persistent à nier le lien entre l’avortement et le cancer du sein, serait levé une fois pour toutes.

Cancer du sein : risques accrus après une IVG, réduits après une grossesse menée à terme

Un chirurgien réputé, spécialiste du cancer du sein a écrit un nouvel article dans une revue médicale, écrivant que l'avortement augmente le risque de cancer du sein pour les femmes. En revanche, une fausse couche n'a pas d'effets, et une grossesse menée à terme réduit le risque.

L'échec de l'éducation sexuelle à l'anglaise

Un programme de réduction des grossesses chez les mineures d'un coût de 6 millions de livres sterlings (près de 7 millions d'euros) a terminé avec un résultat inverse. En effet, le nombre de jeunes filles enceintes à l'issu a été plus que multiplié par deux. 

Avortement et grossesses futures : risques scientifiquement prouvés

Avoir un avortement est dangereux pour les enfants futurs. C'est ce que vient de démontrer une équipe hollandaise menée par le Docteur Robbert van Oppenraaij de l'université érasmus de médecine MC. Ils ont présenté leurs découvertes le 25 juin dernier à Amsterdam.

Augmentation de la survie des bébés prématurés

Une étude publiée par des chercheurs suédois dans le Journal of the American Medical Association fait état d'un accroissement considérable du taux de survie des bébés prématurés nés entre la 22e et 27e semaine de grossesse dû aux progrès de la néonatalogie. Ce qui pose le problème des avortements tardifs, légaux par exemple en Angleterre jusqu'à 24 semaines. Pour un bébé de 23 semaines, on peut donc avoir le choix entre le laisser vivre ou l'avorter...

Nouvelle étude sur le lien avortement-risque psychologique

Les femmes ayant été confrontées à un avortement ont un risque de développer des troubles d’ordre mental tels que la dépression ou l’anxiété, selon une nouvelle étude Néo-Zélandaise.

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