Etudes scientifiques

Les vaccins à base de foetus avortés

Alors que l'on parle de vaccins pour la pandémie de la grippe H1N1, il est intéressant de rappeler que de nombreux vaccins sont élaborés à partir de foetus avortés.

Déjà en 2005 l'académie pontificale avait déjà dénoncé cette pratique et réalisé une liste de vaccins utilisant des cellules de foetus avortés.

Nouvelle étude faisant le lien entre IVG et cancer du sein

 Une étude conduite en Inde dans le Département de gastro-entérologie et l’Unité de nutrition humaine du All Medical Institue of Medical Sciences (AIIMSes), un groupe indépendant d’universités médicales publiques, à New Delhi, a été publiée dans le Journal indien du cancer confirmant d’autres études reliant le cancer du sein à la pratique d'une IVG.

Pr Philippe Deruelle : "La généralisation de la contraception n’a pas d’impact sur le taux d’IVG"

 En juin 2012, la Drees (Direction de la recherche, des études, des évaluations et des statistiques) a publié une étude portant notamment sur l’interruption volontaire de grossesse (IVG), dont il ressort qu’en 2010, 212 000 femmes ont eu recours à l’IVG. Dans le même temps, la Drees constate que "91% des femmes déclarent utiliser un moyen de contraception, et en particulier les deux tiers de celles qui recourent à l’IVG". Enfin, ce sont "les femmes de 20 à 24 ans [qui recourent le plus] à l’IVG, suivies de leurs cadettes, dont 12 000 mineures en 2010". 

Face à cette étude et devant l’évidence, le Pr Philippe Deruelle, secrétaire général du Collège national des gynécologues-obstétriciens de France, déclare : "la déception, de nouveau, devant ces résultats, c’est que la généralisation de la contraception n’a pas d’impact sur le taux d’IVG". 

Pour le Pr Philippe Deruelle, "l’information est insuffisante et inégale. L’accès à la contraception ne peut être un geste caché, facile et automatique". Il ajoute : "les jeunes doivent avoir des conseillers. Il faut énormément de moyens et cela suppose une volonté politique". 
 

 

La Vie (Joséphine Bataille) 02/08/12

Recrudescence des avortements médicamenteux réalisées par les femmes sur elles-mêmes

 Une étude sur la télémédecine appliquée à l'IVG médicamenteuse à domicile a été publiée fin septembre 2011 dans ACTA Obstetricia et Gynecologica Scandinavica, la revue de la Nordic Federation of Societies of Obstetrics and Gynecology. 

Avortements suite à des erreurs de Diagnostics

Le 13 octobre 2011, la revue Ultrasound in Obstetrics and Gynecology* a publié la synthèse d’études, réalisées par des chercheurs britanniques, sur les trop nombreuses erreurs de diagnostics prénatals (DPN) qui conduisent à des interruptions de grossesse (IVG). Si les directives varient et si les critères qui permettent de détecter une grossesse dite "à risque" diffèrent d’un pays à l’autre, les chercheurs ont estimé qu’il pourrait y avoir près de 400 erreurs de diagnostic chaque année, rien qu’au Royaume-Uni.

L'avortement chimique entraîne plus de complications

C'est le constat fait en Australie au terme d'une étude grandeur nature des suites d'avortements chirurgicaux et chimiques réalisés en 2009 et 2010 dans le South Australia. L'information devrait jeter le discrédit sur le message promotionnel des diffuseurs du RU-486 qui vantent l'avortement chimique comme étant plus « sûr » – comme l'explique le journal The Australian.

L'implication des parents fait baisser le nombre d'avortements

Une nouvelle aux Etats Unis étude montre que les avortements ont baissé de 15% aux États-Unis grâce au support de lois qui demandent une implication des parents avant que les enfants mineurs n'optent pour cette possibilité.

Privés de femmes, les hommes vivent moins longtemps

Dans certains pays très peuplés, comme l’Inde et la Chine, les démographes observent un déséquilibre croissant du sex-ratio, la proportion des hommes étant supérieure à celle des femmes. Ce phénomène est pour l’essentiel la conséquence des politiques visant à la réduction de la natalité associées aux techniques de détermination du sexe avant la naissance et à la pratique de l’avortement (ou de l’infanticide).

Un travail original publié dans la revue Demography  et repris par The Economist  met pour la première fois en lumière une conséquence inattendue, de nature médicale cette fois. Ce travail a été mené par une équipe dirigée par le Dr  Nicholas Christakis (Harvard Medical School, Boston). Les résultats statistiques sont là, significatifs nous disent les chercheurs: plus l’environnement féminin était pauvre, plus le risque de mourir jeune était élevé.

Source : Slate.fr

Lien entre avortement et naissance prématurée : une nouvelle étude confirme

Steven Ertelt de LifeNews cite un nouveau rapport paru dans la prestigieuse revue, American Journal of Obstetrics and Gynecology, qui vient confirmer des données antérieures : selon son auteur, Dr Jay Iams, « contrairement à la croyance générale, des études basées sur la population ont établi que les avortements volontaires pendant les 1er et 2e trimestres sont associés à une augmentation très petite, mais apparemment réel, du risque de naissance avant terme spontanée par la suite ».

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