Brèves

01 Jan 2011

Une nouveau blog a été créé suite à le mise à pied d'un professeur ayant montré les images du documentaire "No need to argue", en soutien au professeur, mais aussi pour diffuser le documentaire sur l'avortement, très difficile,  "No need to argue".

Pour ses auteur, le but du blog

n’est pas d’émettre un jugement sur le bien-fondé ou non de l’Avortement (IVG, Loi Veil du 17/01/1975).
Nous souhaitons simplement contribuer à libérer la parole et l’enseignement sur la réalité de ce qu’est un avortement.

Source : Franc Parlier


31 Dec 2010

Je soutiens le Professeur Philippe Isnard, de Manosque (France), mis à pied pour avoir, dans un débat contradictoire dans le cadre de l'instruction civique, montré la réalité de l'avortement en regard du point de vue massivement exposé par le Planning Familial dans les établissements scolaires, et présentant l'avortement comme seule solution à la détresse des femmes inopinément enceintes. Lorsqu'une seule vérité est imposée sans discussion possible, le totalitarisme devient réalité. 

Dans le "Pays des Droits de l'Homme", il est surprenant que la liberté d'enseignement ne soit pas, sur ce sujet, comme peut-être sur d'autres, respectée. La seule obligation dans ce domaine devrait être l'objectivité.

Source : http://www.petitionpublique.fr/?pi=P2010N4853


02 Dec 2010

Interviewé par Nouvelles de France, Nicolas Dupond-Aignant a affirmé :

L’avortement, on ne peut qu’être contre. Cependant, il faut en organiser la pratique pour éviter de retourner aux situations dramatiques que l’on connaissait avant 1974. J’aurais voté la loi Veil en ce qui me concerne. Cependant, je pense que l’avortement ne doit pas être un moyen de contraception supplémentaire.


30 Nov 2010

Une pétition a été lancée pour soutenir le professeur ayant montré une vidéo s

Extraits :

l n'est pas acceptable qu'un professeur soit suspendu de ses fonctions simplement parce qu'il a informé ses élèves des conséquences que peuvent avoir l'Avortement sur la Vie qui se préparait à naître!
Nous demandons au Ministère de l'Education Nationale de suspendre toute sanction contre ce professeur!
La Société a légalisé l'Avortement, soit, mais celle-ci est devenue d'une banalité inacceptable!

La suite.


22 Nov 2010

Le rassemblement organisé à Toulouse, comme dans une trentaine de villes en France par l'association anti-avortement SOS Tout-petits, une association catholique traditionnaliste a été tendu. Concrètement, une trentaine de jeunes d'une vingtaine d'années, dont une douzaine de filles, ont prié, à genoux, sur le parvis de la cathédrale Saint-Étienne, sous les quolibets et les chants de nombreux manifestants, des militants du Planning familial, des partis de gauche, de divers syndicats… Chaque camp étant séparé par un cordon de policiers. Autorisés à prier pendant une heure, le petit groupe a demandé dix minutes de plus. D'où un énervement côté manifestants et un petit accrochage avec les policiers. Vers 15 h 15, sous bonne protection, les anti-IVG se sont retirés, via la rue Fermat. Sur le parvis déserté voletaient alors des préservatifs gonflés comme des baudruches.

S'il parle peu de lui, Marcel détaille ses convictions : « On vient prier pour la vie, contre l'avortement. Quand on autorise une mère à détruire une vie, toutes les autres valeurs s'écroulent. » Marcel place son combat sous l'égide de la religion. Et y voit la lutte « du bien contre le mal ». « Je ne représente pas le bien, précise-t-il, mais je sais où il est et j'y adhère. » « On n'est pas des bigots, se défend-il. On aime s'amuser. » « L'avortement n'est pas une vraie liberté », estime à ses côtés Pierre, 21 ans, étudiant en génie civil, et croyant. « Nous sommes parfois d'une même chapelle et nous nous sommes passés le mot entre cathos », explique Bertrand, 23 ans, qui vient de terminer un BTS de compta-gestion.

Source : La dépêche


29 Oct 2010

Le mouvement catholique "L'Attente" s'est formé l'année dernière, après qu'un donateur ai proposé d'offrir une maison pour accueillir de futures mères en difficulté, à Angers. Mais le donateur vient de se rétracter. L'urgence d'une telle maison existe toujours, ainsi que notre bonne volonté. D'où l'appel à l'aide de l'association.

Seule solution, comme cela s'est fait dans d'autres diocèses : se faire prêter, provisoirement, (ou donner ?) une maison.

Suivant la taille de la maison, l'association pourra recevoir 2, 3, ou 4 futures mères, et leur donner les meilleures conditions pour elles et pour l'enfant qu'elles ont choisi d'accueillir. Cette maison doit être située à Angers ou en périphérie, proche d'un bus ou du tramway. L'association recherche également des personnes compétentes dans les domaines de l'éducation, du social, du médical, de l'administratif etc., pour assurer bénévolement, en équipe, une demi-journée ou une journée par semaine - ou simplement ponctuellement, à la demande -  une aide, et une présence auprès des futures mères.

Source : En marche pour a vie

 


28 Oct 2010

Le 26 octobre 2010, la Cour d’Appel du Luxembourg a statué sur le cas d’une automobiliste enceinte ayant fait une fausse couche après un accident de voiture en mai 2007 où elle fut grièvement blessée. Elle demandait que la perte de son enfant soit reconnue comme homicide involontaire. Le juge a rejeté cette requête en réaffirmant "que le foetus n’avait aucune personnalité juridique et ne pouvait donc être considéré comme un individu aux yeux de la loi". Il a toutefois confirmé les peines des coupables pour coups et blessures, ceux-ci devront payer chacun des amendes de 1200 et 2500 euros et un dédommagement à la victime de 10 000 et 15 000 euros. Leurs permis de conduire leur sont également retirés pendant 3 ans dont 2 avec sursis. L’avocat de la victime a bon espoir que le Parquet général se pourvoit en cassation.

Source : L’Essentiel .lu via la revue de presse gènéthique


21 Oct 2010

Le film Blood money. La valeur d’une vie, du cinéaste américain David K.Kyle, est sorti en Espagne le 8 octobre 2010. Ce documentaire, sorti aux Etats-Unis en mai 2010, retrace l’histoire de l’avortement aux Etats-Unis depuis les premières politiques publiques de planification familiale en passant par la décision Roe contre Wade et dénonce le commerce de l’avortement qui s’est installé. Il a réactivé le débat sur l’IVG dans la société d’Amérique du Nord.

En Espagne, le film a été adapté à la réalité sociale, juridique et politique de l’avortement dans le pays. Le gouvernement espagnol a décidé que le film serait interdit aux moins de 18 ans. Selon le site Hasteoir.org, cette décision est arbitraire car "aucun élément du long métrage documentaire du cinéaste David Kyle, qu’il s’agisse du scénario, des témoignages ou des aspects visuels ne justifie la décision prise" par le gouvernement. D’après la nouvelle loi sur l’avortement, les mineures ont pourtant le droit d’avorter sans l’accord de leurs parents.

Source : Hazteoir.org via la revue de presse gènéthique


30 Sep 2010

Le 28 septembre 2010 en Uruguay, la sénatrice Monica Xavier et le député Alvaro Vega, de la coalition de gauche actuellement au pouvoir, ont déposé des projets de loi pour dépénaliser l'avortement. Cela intervient deux ans après le veto mis par l'ex-président Tabaré Vasquez à un projet de loi autorisant l'avortement. L'avortement est interdit depuis 1938 en Uruguay sauf dans certains cas de viol, dangers pour la santé de la mère, ou pour des raisons économiques (extrême pauvreté).

Monica Xavier propose d'autoriser l'avortement sans restriction jusqu'à la 12eme semaine de grossesse. Alvaro Vega demande l'abrogation de la loi de 1938 qui reconnaît l'avortement comme délit. Leurs propositions pourraient aboutir car José Mujica, l'actuel président, a déclaré qu'il n'opposerait pas son veto à une loi dépénalisant l'avortement.

Source : Romandie News via la revue de presse gènéthique.


13 Sep 2010

La « Junta » (communauté de gouvernement autonome), vient de de lancer une campagne d'« information » avertissant les médecins qu'ils ne pourront pas exercer leur droit à l'objection de conscience contre l'avortement dans le cadre de la nouvelle loi entrée en vigueur début juillet.

Les Conseils de santé des centres de santé « primaire » ont multiplié les réunions cet été dans la province pour faire établir que seules «les personnes directement impliquées dans l'interruption de la grossesse, c'est-à-dire les gynécologues et les anesthésistes qui réalisent l'acte chirurgical» peuvent invoquer ce droit.

C'est une interprétation extrêmement restrictive de la loi et elle forcera des employés administratifs, des médecins des famille et toute autre personne éventuellement impliquée dans la fourniture d'avortements procurés dans le cadre du service public ou médical à participer plus ou moins directement au crime.

Source : blog de Jeanne Smits


07 Sep 2010

Six femmes condamnées jusqu'à 29 ans de prison pour avortement dans l'Etat mexicain de Guanajuato (centre) vont profiter d'une réforme pénale qui limite la peine pour ce "crime" à un maximum de 8 ans. La réforme, promulguée la semaine dernière, ne change toutefois rien à la qualification de l'avortement, considéré comme "infanticide" dans cet Etat réputé très répressif en la matière. L'avortement est puni de prison dans la moitié des 32 Etats du Mexique, et seule la municipalité de la capitale l'a dépénalisé en 2007 lorsqu'il intervient dans les douze premières semaines de la grossesse.

Source : infojeune


05 Sep 2010

Le gouvernement Harper n'a pas changé d'idée. Il refuse toujours de financer l'avortement dans les pays en voie de développement, a tranché Dimitri Soudas, le porte-parole du premier ministre, qui a dû clarifier les propos de la ministre fédérale de la Coopération internationale, Bev Oda. La ministre s'est aventurée dans des eaux troubles lorsqu'elle a affirmé jeudi que le Canada appuyerait indirectement les interruptions de grossesse volontaire dans les pays où la procédure est légale.

Le journal Ottawa Citizen a rapporté les propos de la ministre conservatrice dans un article suggérant qu'elle se montrerait prête à financer les «infrastructures permettant l'avortement».

Bev Oda, toujours selon le quotidien, a soutenu qu'elle pourrait renouveler le financement de l'organisme «International Planned Parenthood», qui offre des conseils au sujet de la planification familiale et de la santé de la reproduction, incluant l'avortement.

Ces commentaires laissaient présager une étonnante volte-face de la part du gouvernement Harper, qui a martelé tout le printemps que le financement de l'avortement ne faisait pas partie de l'initiative de Muskoka sur la santé maternelle et infantile, présentée par Stephen Harper lors du Sommet du G8.

Mais le porte-parole du premier ministre, Dimitri Soudas, a rectifié le tir par la suite.

«L'objectif de notre initiative sur la santé maternelle est de sauver les vies des mères et des enfants», a-t-il plaidé lors d'une entrevue.

«Nous avons été très clairs sur le fait que nous ne financerons pas l'avortement.»

La porte-parole de la ministre Oda, Jessica Fletcher, a affirmé que les propos de la ministre avaient été «sortis de leur contexte» et qu'ils «ne représentaient pas la position du gouvernement».

Source : La presse canadienne


02 Sep 2010

Selon une enquête réalisée au Salvador par JBS Opinion Publica 93 % des personnes interrogées se sont dites opposées à une modification constitutionnelle autorisant l'avortement. Elles sont 76 % à approuver la décision du président Mauricio Funes de dénoncer la signature du « consensus de Brasilia » par une représentante d'une organisation féministe au nom d'El Salvador.

Un tiers des personnes qui s'opposent à la dépénalisation de l'avortement a affirmé que c'était parce que « nous avons tous droit à la vie », 20 % que seul Dieu est maître du moment de la fin de la vie ; 18 % ont déclaré que l'avortement est la mise à mort d'un être sans défense et 12 % qu'il s'agit d'un crime.

Source : Le blog de Jeanne Smits


31 Aug 2010

Julia Evelyn Martinez représentait en juillet dernier le Salvador à la 11e Conférence régionale sur la Femme d'Amérique latine et des Caraïbes qui s'est tenue à Brasilia (CEPAL) : cette féministe, directrice de l'Institut d'El Salvador pour le développement de la Femme (ISDEMU), en a profité pour signer le « consensus de Brasilia » qui vise à faire dépénaliser l'avortement dans toute la région.

Le président du pays, Mauricio Funes, l'a officiellement désavouée, en faisant publier une mise au point sur le site de la présidence de la République, actuellement en tête de toutes les informations. Il y déclare que Mme Martinez n'était pas « autorisée à signer au nom du pays le “Consensus de Brasilia” qui engage le Salvador à réviser les lois sur l'avortement ».

Source : Le blog de Jeanne Smits