Les avortements forcés perdurent en Chine

Le gouvernement chinois fait l'objet de critiques nourries de la part d'un membre du Congrès américain. En effet, ce dernier n'accepte pas que le gouvernement continue sa politique violente de l'enfant unique pour limiter la population en Chine, par l'utilisation des avortements forcés ainsi que des stérilisations forcées.
Le cas précis en question est celui d'une femme, Arzigul Tursun, et il est particulier car Arzigul est enceinte de déjà 26 semaines (plus de six mois), ce qui fait de son foetus un foetus avec de grandes chances de survies possible en dehors de l'utérus de sa mère. Elle est en fait enceinte de son troisième enfant, et les officiels chinois ont menacé sa famille de confiscation de tous les biens en cas de refus d'avorter. "Nous avons pensé à nos deux filles" a déclaré son mari". "Si la maison et tout le reste nous sont enlevés, comment vont-elles vivre ? Ma femme est donc retourné au village et s'est rendue à l'hôpital".
Un cas qui a attiré l'attention du membre du Congrès américain Chris Smith (républicain), réputé pour ses positions pro-vie. Ce dernier a écrit à l'ambassadeur de Chine aux Etats Unis, demandant de ne pas appliquer le "cauchemar de l'avortement forcé" au cas de Arzigul.
Une question qui soulève aussi le problème du financement de l'UNFPA, le Fonds des Nations Unies pour la population par les Etats Unis. Ce font est impliqué dans le financement des avortements forcés en Chine. Et il semblerait que l'arrivée de Barack Obama au pouvoir pourrait avoir pour conséquence une augmentation des fonds américains à ce fond des Nations Unies.
Source : LifeNews
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