Inde : nouvelle arrestation contre l'avortement sélectif

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Le planning familial américain a en effet déboursé 700 000$ dans une campagne contre la notification des parents en cas d'avortement sur un mineur. Une loi qui va être proposée en Californie par référendum en Novembre. 1,2 million de signatures avaient en effet été réunie pour, comme le prévoit la loi américaine, proposer cet amendement par référendum. Un amendement qui obligerait les médecins à prévenir l'un des parents ou un autre adulte de la famille avant de pouvoir réaliser un avortement. Certains pro-vie sont ainsi insatisfait que l'obligation ne porte pas purement et simplement sur les deux parents.

Afin de lutter contre cette proposition de loi, le planning familial américain a lancé une campagne curieusement intitulée "pour la sécurité des ados", prétendant qu'une telle mesure serait néfaste à leur santé. Une information en provenance du secrétaire d'Etat montre que la filiale de San Jose du planning familial a déboursé 700 000$ dans la campagne.
Il faut dire que le planning familial américain, organisation pourtant sans but lucratif, est l'institution réalisant le plus d'avortements en Amérique. Avec un chiffre d'affaire de près d'un milliards de dollars et des profits importants, les patrons de l'institution sont à même de se verser des salaires dignes des plus grands patrons.

Les partisans de la loi, qui ont mis en avant la mort d'une jeune fille de 15 ans, font valoir que cette loi permettra aux parents de s'occuper de leur enfant et donc d'éviter qu'un tel fait se reproduise. De plus, une telle loi pourrait permettre de déceler les abus sexuels utilisant l'avortement pour masquer les faits, voire pour victimiser par la suite les mineures abusées.

Source : LifeNews