La Marche pour la vie organisée par un collectif d’étudiants partira le dimanche 27 mars à 15h à la place Royale (Mont des Arts) à Bruxelles.

Plus de vingt ans après la dépénalisation de l’avortement en Belgique, le nombre d’avortements continue à augmenter : 19.421 en 2009, auxquels il faut ajouter environ 3000 avortements de femmes belges à l’étranger. En outre, la proportion de très jeunes femmes demandant une interruption volontaire de grossesse (IVG) est en progression constante.


Le dimanche 27 mars à 15h se déroulera à Bruxelles – au départ du Mont des Arts - la deuxième édition de la Marche pour la Vie. La manifestation s'achèvera à 17h Place Poelaert. En 2010, l’évènement avait rassemblé près de 2000 personnes.


Le 7 mars 2011 a lieu à Paris une conférence sur "Les nouveaux enjeux de l'IVG en 2011". Le Pr. Israël Nisand, qui coordonne ce colloque, s'alarme d'une hausse des avortements chez les mineures : "selon les derniers chiffres, les IVG sont en hausse chez les femmes de moins de 25 ans. Environ 15 000 sont pratiqués tous les ans chez les mineures".


A l’occasion du colloque intitulé "Les nouveaux enjeux de l’IVG", organisé le 7 mars 2011 par le laboratoire Nordic Pharma, principal distributeur de la pilule abortive RU 486, La Vie publie une interview de Sophie Marinopoulos. Lors d’une intervention en fin de colloque, cette psychanalyste doit en effet plaider "pour une prise en charge de la douleur psychique".


Le quotidien gratuit Métro consacre une double page à l’avortement en France. En effet, les médecins pratiquant les IVG sont de moins en moins nombreux : leur moyenne d’âge est de 53 ans et ils ne sont pas remplacés par les jeunes diplômés que cet acte "peu valorisé et mal payé" n’attire pas. Plusieurs centres réalisant des avortements ont fermé et d’autres refusent de réaliser des IVG tardives (après la 10ème semaine).


Le Dr. Bernard Nathanson, gynécologue obstétricien américain, ayant supervisé et pratiqué de nombreux avortements avant de connaître un retournement de conscience complet, est mort d'un cancer à l'âge de 84 ans le 21 février 2011, chez lui, à New York. 
Le Dr. Nathanson, qui avait formé des milliers de médecins à pratiquer l'avortement, estimait avoir lui-même interrompu 5000 grossesses et se déclarait "personnellement responsable de 75 000 avortements".


Le nombre d'avortements de foetus de sexe féminin a atteint un nombre sans précédent chez les Indiennes depuis que les ultrasons sont facilement accessibles, révèle une étude du Centre du marché et de l'organisation publics de l'Université de Bristol. La recherche de la professeure Sonia Bhalotra démontre que près de 500 000 foetus de sexe féminin sont avortés chaque année en Inde. Le phénomène s'observe surtout dans les familles hindoues riches et éduquées.


Intitulée « 20 ans du droit à l’avortement en Belgique » et portant le n°3455, elle a été envoyée le 9 février  par la Direction générale de l’enseignement à toutes les directions et à tous les pouvoirs organisateurs des écoles secondaires.


Dans une tribune de La Croix, Danielle Moyse montre la nécessité de penser la coexistence entre le droit à l’objection de conscience et la liberté d’avorter, laquelle n’est pas le résultat d’un droit mais d’une simple autorisation juridique de déroger au droit à la vie.


Aux Etats-Unis, la dernière enquête nationale sur l’avortement montre que la majorité des Américains se considèrent comme "pro-vie".

Le 24 janvier 2011 a eu lieu une Marche pour la vie (March for Life) à Washington qui a rassemblé 400 000 marcheurs.


Un employé de pompes funèbres dans un temple de Bangkok, accusé d'avoir dissimulé 2002 fœtus issus d'avortements illégaux, a été condamné à 20 ans de prison à l'issue de son jugement.


Après la tribune contre la Marche pour la vie, puis la tribune estimant que les catholiques ont le droit de défiler pour leur convictions, Riposte Laïque publie une tribune de Myriam Picard, catholique qui collabore à cet organisme.


Les anti-IVG se multiplient. Quelque 6.500 personnes selon la police, 40.000 selon les organisateurs, opposées à l'avortement, ont défilé ce dimanche après-midi à Paris pour une septième «grande marche nationale pour le respect de la vie». Cette participation est deux fois plus importante que celle enregistrée en janvier 2010 lors de la sixième marche, qui avait réuni 3.100 personnes selon la police, 20.000 selon les organisateurs.


C’est une étude inédite et terrifiante que nous signale Rick DelVecchio, un journaliste au Catholic San Francisco, l’organe officiel de l’archidiocèse, dans un article du 4 mai.


La manifestation partira à 14H30 de la place de la République pour rejoindre la place de l'Opéra.


BPAS (anciennement British Pregnancy Advisory Service), le plus grand "fournisseur" d'avortements en Grande Bretagne veut obtenir une décision de justice autorisant les femmes à avorter chez elles. Ce défi lancé à la Haute Cour, qui sera entendue à ce sujet le 28 janvier 2011, est contesté par le ministère de la santé suite à la rupture des négociations entre les ministres et les dirigeants de BPAS.


Un article de Libération intitulé "A la mémoire des enfants qui n'auront pas vécu" aborde le  le deuil périnatal, qu'il s'agisse d'enfants morts-nés, mais aussi d'enfants victime d'une "interruption médicale de grossesse tardive": sujet "entouré de silence et de tabou".


Les Nations Unies (ONU) ont rendu publics les noms des membres de la nouvelle commission chargée de renforcer les lignes directrices de l'ONU en matière de santé maternelle et infantile. Un de ses principaux objectifs est de prévenir les grossesses non désirées.


Lord Nicholas Windsor s’est exprimé dans le journal américain First Things.

Je voudrais m’arrêter spécialement sur un sujet et une pratique qui constitue le déficit moral qui à est lui seul le plus dommageable dans la vie contemporaine : l’avortement de nos enfants à naître.


M

C’est tout l’objectif qui est le mien : faire baisser ce chiffre pour tenter de le ramener jusqu’à zéro si c’est possible. On a aussi le droit d’essayer d’être malin quand on fait de la politique. Il faut reposer le problème du respect de la vie dans notre société qui est un problème de civilisation.


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