Irlande. Une proposition de loi renversant la protection constitutionnelle accordée à l’enfant à naître et érigeant un délit d’entrave à l’avortement puni d’un an de prison va être discuté au Dáil Éireann jeudi 19 avril. À l’initiative, les Teachta Dála (membres du Parlement irlandais) Clare Daly (socialiste) etMick Wallace (indépendant).


 France Inter, relayé par les Nouvelles de France, a annoncé en exclusivité ce matin l’intention du Parti socialiste de rembourser à 100% la pratique de l’avortement aujourd’hui prise en charge à 70% ou 80%, selon qu’il s’agit d’un avortement médicamenteux ou d’un avortement chirurgical.


Marine Le Pen a brisé jeudi le consensus au Forum ELLE/Sciences Po à Paris en réaffirmant son opposition aux "avortements multiples", pratiqués à ses yeux comme un moyen de contraception, ainsi qu'aux quotas de femmes en politique.  Prenant la parole devant les étudiants de sciences politiques, Marine Le Pen, qui n'a pas démordu de ses convictions, a assuré qu'elle ne voulait pas remettre en cause l'avortement mais "des dérives".


 Certains conservateurs en restent à une première et fausse impression, à savoir que Mitt Romney serait modéré sur la question pro-vie. Pourtant, Romney a été et est pro-vie depuis son changement d’avis en 2004.


 90 000 avortements par an chez les moins de 25 ans dont 17 000 chez les 15-17 ans et 17 000 chez les 17-19 ans. C’est un état des lieux alarmant que révèle le rapport cosigné par le gynécologue Israël Nisand.

La pornographie est notamment mise en cause dans ce rapport.


 Le 1er mars 2012, le quotidien Libération publiait une tribune très critique sur le rapport du Pr Israël Nisand sur la sexualité des mineurs, remis à Mme Bougrab, secrétaire d'Etat chargée de la jeunesse. Le 9 mars 2012, Libération publie une tribune répondant à ces critiques, signée par les gynécologues Israël Nisand et Brigitte Letombe et par la psychanalyste Sophie Marinopoulos. Ces derniers soulignent qu'en dehors des compétences épidémiologiques des cosignatrices qui critiquent le rapport sur la sexualité des mineurs, "leur position idéologique ne repose hélas que sur l'étude des chiffres et statistiques, alors que nous recevons des femmes tout au long de leur vie et que nous les écoutons".


Le Daily Telegraph a révélé que des médecins britanniques ont autorisé des femmes à avorter car le sexe de leur enfant ne leur convenait pas. Le ministère de la Santé a promis des sanctions contre ces professionnels.

«Pourquoi souhaitez-vous avorter? 
- Je ne veux pas de fille 
- D'accord, mais on indiquera une autre raison sur votre dossier.Trop jeune pour être mère, ça vous va?» 

Tel est en substance le dialogue qu'à pu filmer en caméra cachée le journal britannique The Daily Telegraph.


 Le député conservateur canadien Stephen Woodworth a présenté lundi aux Communes une motion demandant la création d'un comité spécial pour déterminer à quel moment un foetus peut être qualifié d'être humain.


 La semaine dernière, Marine Le Pen qualifiait le planning familial de "centre d'incitation à l'avortement". Lundi soir, le numéro 2 du Front national, Louis Aliot, parlait "d'IVG de confort". Cette mesure, qui n'est pourtant pas inscrite dans le programme de Marine Le Pen, avait déjà été évoquée par la candidate la semaine dernière dans un entretien à Rue89. La chef de file du FN déclarait que "s'il y a des économies à faire, l'avortement est quelque chose qu'on peut éviter (…) Si j'ai un choix à faire, je vais l'assumer".


 Dans le mensuel La Nef de février 2012, Pierre-Olivier Arduin rapporte les résultats d'une enquête de terrain conduite dans un grand centre hospitalier français, qui révèlent que "l'interruption médicale de grossesse (IMG), bien que légale depuis 35 ans, est vécue comme "un geste à la limite du tolérable" par des médecins et des sages-femmes qui en approuvent pourtant le principe et l'effectuent régulièrement dans leurs services respectifs".


Une militante drapée dans une écharpe rouge prend part à un « die-in » pour représenter les 55 millions de présumés enfants morts par avortement aux États-Unis, lors d'une manifestation devant la Maison Blanche à Washington, le 23 janvier 2012.


 Ni le froid ni la pluie battante n'ont découragé les dizaines de milliers de militants pro-vie qui ont marché hier à Washington, pour le funeste anniversaire de l'arrêt Roe v. Wade, décision historique de la Cour suprême légalisant l'avortement aux Etats-Unis en 1973. L'AFP comptait seulement "Des centaines de personnes "pro-life". Peu crédible au regarde des images qui nous sont parvenues.


Nouveau succès au rendez-vous pour la huitième édition de la Marche pour la Vie 2012. La longueur du cortège qui a défilé à Paris de République à Opéra témoigne de ce succès, et tout particulièrement chez les jeunes qui formaient la majorité des manifestants, aux sons de musiques modernes, comme le titre "Aurélie" de Colonel Reyel (gros succès de l'année dernière).

Les manifestants étaient au nombre de 6850 selon la police, 30 000 selon les organisateurs, soit plus que les estimations de l'année précédente. A 16h17 : Le cortège s'étendait encore de sont départ, place de la République au boulevard des Italiens.


Les militants pro-vie se sont donné rendez-vous ce dimanche 22 janvier à 14h30, place de la République. La huitième « Marche pour la vie » rassemblera des particuliers et des délégations venues d'Europe et d'Afrique ainsi que des hommes politiques, répondant à l'appel du collectif « En marche pour la vie » qui regroupe une quinzaine d'associations. Le cortège traversera la capitale pour rejoindre l'Opéra vers 17h30.


Quel candidat me laissera vivre ?Tel est le cri lancé par cet enfant in utéro, toujours davantage menacé par l’avortement. Le dimanche 22 janvier prochain, le Collectif « En marche pour la vie ! » qui regroupe une quinzaine d’associations françaises d’aide aux mères en détresse et de défense de la vie de la conception à la mort naturelle, organise à Paris sa 8e Marche pour la Vie. Le rendez-vous est donné à 14h30, place de la République.


 En janvier 2012, Pierre-Olivier Arduin a dénoncé dans La Nef la dangerosité du raisonnement utilitariste qui voudrait que l'on juge du droit à la vie d'un fœtus, et maintenant d'un nouveau-né, en fonction de sa qualité de vie future. Méprisant le droit, cette manière de pensée conduit à une "légitimisation de l'infanticide", selon l'expression de Jean-Paul II.

Selon lui, plusieurs faits ont été des signes annonciateurs de la "montée en puissance d'un discours légitimant l'euthanasie néonatale".


 En décembre 2011 à Bruxelles, un gynécologue a été condamné à dédommager de 10 000 euros les parents d'une petite fille handicapée, pour les avoir averti trop tard de "la présence d'un risque élevé d'handicap" suite à un test effectué la quinzième semaine, "les empêchant de procéder à un éventuel avortement". Le tribunal de Courtrai avait déjà estimé que le gynécologue avait commis une erreur, la cour d’appel a confirmé ce jugement.


 Elles sont nombreuses à Bamako, les épouses qui s’adonnent à cette pratique sans l’avis de leurs conjoints. Les interruptions volontaires de grossesse ou IVG représentent un phénomène sociétal qui se déroule très souvent dans des conditions de clandestinité. Dans notre pays, l’avortement reste copieusement mal perçu compte tenu de notre culture, nos traditions, nos religions entre autres. Toutefois, la réalité sociale est tout autre et la pratique illégale est très courante dans notre pays.


 La maternité régionale de Nancy est poursuivie par un couple pour "préjudice moral" pour avoir refusé de pratiquer une "interruption médicale de grossesse" (IMG). En novembre 2008, alors que la jeune femme est enceinte de plus de cinq mois, un examen révèle que la petite fille attendue n'a pas d'avant-bras gauche (agénésie).


Pour relancer sa démographie, la Russie cherche à restreindre les avortements. En cours de ratification, la nouvelle loi prévoit un cadre qui, depuis la liberté totale d’avorter sous l’URSS, est progressivement rendu de plus en plus strict. Les interruptions de grossesse ne pourront désormais plus intervenir au-delà de douze semaines de grossesse.


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