Un gynécologue de Nancy a été condamné par la Cour d’appel à 15.000 euros pour dommage moral pour avoir fait perdre à sa patiente une "chance d’interrompre sa grossesse" faute d’information, a-t-on appris mardi de l’avocat de la plaignante.


Du 17 mai au 2 juin, l’Alliance pour les droits de la vie (ADV) entreprend une tournée dans plusieurs grandes villes de France. Une occasion pour se former et partager les souffrances des femmes et des couples blessés par ces questions de bioéthiques


Expert-comptable de profession, Vicki Evans a mis toute ses compétences techniques au service de cette recherche fondamentale qui a abouti à serrer de très près la réalité économique de l’industrie de l’avortement aux États-Unis : 1 milliard de $ de chiffre d’affaires par an, comprenant aussi l’utilisation commerciale de tissus fœtaux.


Les « Pro-Life Wisconsin » ont fait savoir par l'Alliance Defense Fund, groupe pro-vie et pro-famille américain, qu'une cflinique de Madison a renoncé à son projet de pratiquer des avortements tardifs sous la pression des opposants au massacre des tout-petits.


Roselyne Bachelot a, en réponse au député député socialiste Jean-Luc Pérat, a affirmé que l'accès des femmes à l'IVG est l'une de ses "priorités". Elle rappelle qu'elle n'a eu de cesse "d'assurer un très bon accès des femmes à l'IVG, en donnant à un certain nombre de structures la possibilité de réaliser des IVG, en particulier médicamenteuses" et qu'elle a "augmenté la tarification des IVG comme jamais auparavant : 60% depuis 2008, et, cette année, elle a encore plus que doublé".


Huit étudiants pro-vie de l'Université de Calgary risquent d'être expulsés pour mauvaise conduite. Malgré les interdictions de l'établissement, ils ont affiché sur le campus des images antiavortement jugées choquantes.


Les ministres du Développement des pays du G8 se sont entendus pour laisser chaque pays déterminer comment il compte poursuivre l'objectif d'améliorer la santé des mères et des enfants des pays pauvres, n'obligeant donc aucun Etat à financer l'avortement à l'étranger. Une polémique au Canada avait en effet débouché sur la volonté par les autorités de ne pas financer les avortements dans les pays du tiers-monde.


En Italie, un fœtus a survécu à un cas d'avortement « thérapeutique » pratiqué à l'hôpital calabrais de Rossano. Mais il est décédé par manque d'oxygène 24 h après l'avortement. Médecins et infirmières ont reçu un avis d'ouverture d'enquête judiciaire par le Procureur de la République de Rossano pour vérifier si les dispositions de la loi 194 ont été violées.


L'Express.fr a interviewé Irène Vilar, une Américaine d'origine portoricaine qui relate dans un livre témoignage - paru récemment en France sous le titre de Maternité avortée* - ses 15 avortements et son rapport difficile à la grossesse et à la maternité. Elle parle d' "addiction à l'IVG". Aujourd'hui remariée et mère de deux petites filles, elle voit sa maternité comme une sorte de rédemption.


Un député conservateur a présenté aux Communes un projet de loi qui prévoit jusqu'à cinq ans de prison pour quelqu'un qui pousserait, par la menace, une femme à se faire avorter. Le projet de loi se lit ainsi: Quiconque contraint ou tente de contraindre une femme enceinte à se procurer un avortement est coupable d'un acte criminel.


La Direction générale de la santé vient de publier les chiffres officiels de l’avortement pour 2009. Leur nombre atteint près de 19.000 interventions pratiquées dans le cadre de la loi, soit un millier de plus (une augmentation d’environ 5 %) que l'année précédente. C’est la clinique « dos Arcos » à Lisbonne qui a réalisé la quasi totalité des avortements du secteurs privé ; il s’agit d’une clinique commerciale qui s’est fait une spécialité de l’avortement.


A la suite de "l'arrêt Perruche" en 2000, la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades stipule que "Nul ne peut se prévaloir d'un préjudice du seul fait de sa naissance".  Or, le 14 avril 2010, le Conseil constitutionnel a été saisi à la suite de la demande d'une plaignante souhaitant une indemnisation pour la naissance de son fils handicapé. En décembre 1995, Mme Viviane L., l'une des plaignantes, a donné naissance à Loïc, un petit garçon atteint de la myopathie de Duchenne. L'avocat de la mère de Loïc, Me Arnaud Lyon-Caen, conteste les dispositions de la loi du 4 mars 2002 et leur rétroactivité. Il s'oppose à "la disposition voulant que les parents n'aient droit qu'à une réparation partielle de leur préjudice lorsqu'une information  erronée  les a privés de la possibilité d'avorter un enfant handicapé".


Les activistes anti-avortement viennent de remporter une victoire cruciale dans le Nebraska. L'Etat du centre des Etats-Unis, gouverné par un républicain, vient en effet de promulguer deux dispositions législatives imposant de nouvelles restrictions en matière d'interruption de grossesse. La première exige un examen approfondi avant l'opération pour détecter d'éventuels facteurs de risque chez la patiente. La seconde mesure, très contestée, interdit les avortements à partir de vingt semaines.


Il y a deux semaines, deux employés des pompes funèbres ont été arrêtés dans l'est de la Chine après que les corps de 21 nouveau-nés et foetus aient été retrouvés dans une rivière. Selon les autorités locales, les cadavres pourraient avoir été ceux de foetus avortés ou de bébés morts de maladie.


Un couple poursuit l'hôpital de la Croix-Rousse à Lyon qui n'a pas correctement diagnostiqué une anomalie génétique chez leur troisième enfant. La détection de cette anomale aurait conduit à un avortement thérapeutique. Leur enfant aura besoin toute sa vie d’une assistance permanente.


Une mère de l’État de Washington est furieuse après qu’un centre de soins d’une école secondaire publique ait aidé sa fille à se faire avorter sans son consentement et sans qu’elle le sache. La mère, identifiée comme « Jill », a dit que sa fille de 15 ans a fait un test de grossesse au Centre de soins pour les adolescents de l’École secondaire Ballard de Seattle. Le test s’étant révélé positif, les officiels n’ont pas notifié la mère. Au lieu, la jeune fille a été envoyée dans une clinique d’avortement.


Le projet Isis propose aux femmes en situation très précaire un accompagnement pendant la grossesse. "Vous êtes enceinte. Vous vous sentez seule ou en difficulté ? Bienvenue au projet Isis." Constatant que de nombreuses femmes enceintes et/ou avec de jeunes enfants ne s’en sortent pas, le Plan F a lancé un projet d’accompagnement de ces (futures) mères, souvent seules, plongées jusqu’au cou dans les soucis affectifs, économiques et sociaux. Dans la mythologie égyptienne, Isis, c’est la déesse mère, dispensatrice de vie et gardienne qui veille sur son enfant

L’association aide chaque année 80 à 90 femmes confrontées à une grossesse non désirée à garder leur enfant. L’an dernier, plus de 250 personnes ont contacté le "Souffle de vie", une association catholique née en 1987 sous l’impulsion de Micheline et Jacques Philippe, qui a pour but d’aider à long terme toute femme et tout couple dont la grossesse peut être remise en question par une détresse, quelle qu’elle soit.

Le 30 juillet dernier, l’AIFA (Agence Italienne du Médicament) a finalement autorisé la mise sur le marché de la RU 486 par les laboratoires français Exelgyn (qui sont donc les producteurs de la pilule). Les premières pilules seront très probablement distribuées aux hôpitaux après Pâques. Précisons que le soin de choisir le cadre dans lequel aura lieu la prise de la pilule abortive est laissé aux régions elles-mêmesCependant, le week-end dernier ont eu lieu les élections régionales qui ont vu la Ligue du Nord l’emporter dans deux régions très importantes du nord : le Piémont et la Vénétie. Roberto Cota et Luca Zaia, respectivement les nouveaux présidents de chacune de ces régions, s’opposent avec virulence à l’arrivée de la pilule dans les hôpitaux des régions dont ils ont désormais la responsabilité.


Hier, la Belgique fêtait le 20e anniversaire de la loi dépénalisant l'avortement. Une occasion pour signaler que les médecins pratiquant des interruptions volontaires de grossesse manquent sévèrement dans le pays. A peine 80 médecins vieillissants officient aujourd'hui en Wallonie et à Bruxelles dans les centres d'interruption volontaire de grossesse (IVG). Une pénurie à causes multiples, indique vendredi Le Soir.


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