"Plus une femme sur trois a recours, dans sa vie à l'IVG". Ce chiffre est diffusé, "à la Une", sur le site du ministère du droit des femmes. La presse a largement fait écho, sans se poser de questions, à cette affirmation pour le moins étonnante.

Qu'en est-il ? Plus d'une femme sur trois aura-t-elle vraiment recours à l'IVG pendant sa vie ? La voix du citoyen s'interroge et refait quelques calculs mathématiques de niveau scolaire...


La pétition lancée contre le volet IVG de la loi sur l'égalité homme / femme a recueilli plus de 5.500 signatures en moins de 4 jours. Voir la pétition


Durant les tumultueuses années 60, après des siècles d’interdiction légale et de condamnation morale de l’avortement, une poignée d’activistes motivés ont lancé une campagne de marketing sans précédent. Leur but était double : Il s’agissait d’abord de capturer les média d’information et donc l’opinion publique, puis de changer les lois de la nation régissant l’avortement.


Malgré d’importantes subventions publiques, le Planning familial ne parvient pas à être mieux référencé sur Google.fr que des sites d’aides aux femmes en détresse pourtant bien moins dotés sur le plan financier, comme ivg.net. Depuis quelques mois, Najat Vallaud-Belkacem, le ministre des Droits des femmes et porte-parole du gouvernement s’est mise en tête d’inverser cette situation.


DUBLIN, le 18 juillet 2013 (LifeSiteNews.com) - Le sénateur du parti républicain (Fianna Fáil), Jim Walsh a ébouriffé les politiciens pro-avortement d'Irlande en donnant une description "graphique" et détaillée des procédures d'avortement durant la discussion en cours au Sénat sur la loi gouvernementale concernant l'avortement. La loi propose de permettre l'avortement durant les neuf mois complets de la grossesse si la mère proclame qu'elle est suicidaire.


Dans un sondage CBOS publié par le quotidien Rzeczpospolita, 75% des Polonais considèrent que l’avortement est un mal et qu’il ne peut en aucun cas se justifier. C’est la plus forte proportion d’opposants à l’avortement en Europe et c’est 6% de plus qu’il y a 3 ans. Un autre sondage publié en juin 2012 montrait que pour 80% des Polonais, « la vie humaine doit être protégée de la conception à la mort naturelle toujours et quelles que soient les circonstances ».


 En Irlande, les femmes auront le droit d’avorter si leur grossesse leur fait courir« un risque réel et substantiel », certifié par les médecins. Cette disposition s’applique également en cas de risque de suicide où l’avis unanime d’un obstétricien et de deux psychiatres est requis. Telles sont les dispositions que prévoit la loi votée par les députés Irlandais ce jeudi soir, à 127 voix pour et 31 voix contre, après une nuit de discussion sur 165 amendements.


Face au nombre croissant de gynécologues objecteurs de conscience, les services pratiquant les interruptions volontaires de grossesse (IVG) ferment. Des affiches placardées à l’entrée des services indiquant qu’ici, « on ne fait plus d’IVG », des patrouilles de volontaires attendant les patientes pour les dissuader d'avorter.


La proposition de loi reprend la législation en vigueur en Pologne, pays dans lequel "l'IVG est interdite depuis vingt ans, sauf en cas de viol, d'inceste, de malformation irréversible de l'embryon et de danger pour la vie ou la santé de la mère". 


La Haute autorité de santé (HAS) a souhaité évaluer si une prescription à l'avance de la pilule de contraception d’urgence (PCU), plus communément appelée 'pilule du lendemain', permettrait de réduire le nombre de grossesses imprévues et d'interruptions de grossesse. 


Le pape François a été jusque là plutôt discret sur les questions éthiques. Dimanche pourtant, à l'occasion de la prière du Regina Caeli (qui remplace l'Angelus jusqu'à la Pentecôte) il a nettement pris position pour «le respect pour la vie dès le moment de sa conception», s'opposant, en clair, à l'avortement.


Confirmant la volonté de l'actuel gouvernement de modifier la loi en vigueur sur l'avortement, le ministre de la Justice espagnol Alberto Ruiz Gallardon a déclaré, ce lundi 15 avril, vouloir "rapidement" présenter un projet de loi. En estimant que "le risque pour la santé physique et psychique ne peut être considéré comme prétexte pour ne pas protéger la vie" du foetus, le ministre de la justice a déclenché une polémique. 


En Inde, les femmes subissent une véritable discrimination que ce soit au travail ou à la maison, et "les avortements comme les infanticides deviennent un problème d'ampleur nationale". Ainsi, "les Nations unies estiment à environ 500 000 chaque année le nombre d'interruption volontaire de grossesse [IVG] destinées à éviter la naissance d'une fille", des avortements "pratiqués en cachette et dans des conditions douteuses par des médecins peu scrupuleux. Et les infanticides sont dramatiquement fréquents". 


Les élus ont adopté vendredi deux promesses de campagne de François Hollande : la prise en charge à 100% de l'interruption volontaire de grossesse (IVG) pour toutes et la gratuité de la contraception pour les jeunes filles de 15 à 18 ans. Si les sénateurs vont dans le même sens, la décision s'appliquera en 2013.


Mercredi 17 octobre, le "Sénat Uruguayen a approuvé […] le projet de loi légalisant l’avortement jusqu’à 12 semaines de gestation, sous certaines conditions". Le 26 septembre dernier, la chambre des députés avait déjà donné son approbation. Cette adoption par le Sénat fait de l’Uruguay "le troisième pays d’Amérique Latine à légaliser l’avortement", après Cuba et le Guyana.


 Le 18 octobre prochain, "la première clinique privée à pratiquer des avortements en Irlande du Nord ouvri[ra] […] à Belfast". 


  Dans une interview accordée au Times samedi 6 octobre, "le ministre britannique de la Santé Jeremy Hunt a déclaré […] qu’il souhaitait que le délai légal pour avorter soit réduit de moitié, de 24 à 12 semaines, suscitant l’indignation des défenseurs des droits des femmes et une mise au point du Premier ministre". Dans le même temps, il a affirmé que "ce n’était que son ‘opinion sur un sujet difficile’".


 

Le Maroc a interdit jeudi l'accès du port de Smir, dans le nord du pays, à un navire transportant des membres de l'ONG néerlandaise Women on Waves (femmes sur la vague) faisant campagne pour des avortements médicamenteux.


 Selon les organisateurs de l’ONG "Women on waves", "un ‘navire pour l’avortement’ néerlandais a pour la première fois mis le cap sur un pays musulman, le Maroc, pour offrir des conditions sanitaires améliorées à cette pratique illégale mais très répandue dans le royaume". L’AFP précise que "l’ONG a assuré ‘être en mesure de fournir aux femmes des avortements médicaux légaux en vertu du droit néerlandais, en naviguant dans les eaux internationales’".


 Dans plus d’une cinquantaine d’écoles secondaires, "la ville de New York distribue la ‘pilule du lendemain’ à des adolescentes à partir de l’âge de 14 ans , […] parfois même avant qu’elles n’aient eu leur premier rapport sexuel".


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